✿ Californian Dream
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 She's got a smile that reminds me of childhood memories

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Yelena A. Nygård
Bathory ♦ the last with pagan blood

Yelena A. Nygård

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MessageSujet: She's got a smile that reminds me of childhood memories   She's got a smile that reminds me of childhood memories EmptyDim 17 Juil - 16:29

She's got a smile that it seems to me, reminds me of childhood memories, where everything was as fresh as the bright blue sky. Now and then when I see her face, she takes me away to that special place and if I'd stare too long, I'd probably break down and cry. Oh, sweet child o' mine...
She's got a smile that reminds me of childhood memories Stock18

Depuis qu’elle était à Los Angeles, Yelena avait compris une chose : les habitants de cette ville n’arrêtaient pas de bouger. C’était une attitude contagieuse, car elle réalisait passer son temps dans les transports, entre ses rendez-vous professionnels, séances photos et ses cours à l’Université de UCLA. Elle n’avait pas une minute à elle, mais être ainsi active lui plaisait d’un certain côté car cela lui permettait de faire le vide dans son esprit et de ne pas trop se poser de questions sur sa vie personnelle. La Norvégienne se demandant souvent si elle était vraiment faite pour les relations humaines. Il lui semblait ne jamais pouvoir s’attacher aux autres, comme s’ils entraient et sortaient dans sa vie sans y laisser de trace, seulement des souvenirs plus ou moins agréables. Heureusement pour elle, la jeune femme était tout de même liée à quelques personnes qui se comptaient sur les doigts d’une main. Parmi ces dernières, il y avait Fransiska, sa petite cousine du côté de sa mère. Un sourire se dessina sur ses lèvres prunes lorsque l’image de Frans’ se fit une place dans son esprit. Elle adorait sa cousine. Déjà enfant, les deux gamines adoraient passer du temps ensemble lorsque leurs parents se voyaient entre la Norvège, la Russie et l’Angleterre. Mais son attache envers Fransiska s’était vraiment développée lorsque son père, Quorthon, avait été emprisonné pour meurtre. A l’époque, leur famille leur avait tourné le dos en jugeant que sa mère, Oksanna, avait été idiote de s’engager avec un homme aussi foncièrement mauvais. Ces idiots n’avaient jamais cherché à savoir les intentions de Quorthon ni réalisé qu’il y avait une autre facette à sa personnalité qu’ils ne comprendraient jamais. Mais Fransiska et sa mère avaient été présentes et les avaient soutenues. Frans’ était alors jeune et ne comprenait probablement pas vraiment la situation à l’époque, mais avec elle, Yelena avait l’impression d’être une petite fille normale et pas la descendante d’un type instable et dangereux. Elle lui avait ouvert les bras dans un moment de faiblesse, et Lena s’était juré qu’elle n’oublierait jamais ce geste. Des années plus tard, elle se sentait toujours redevable et essayait de voir sa cousine aussi souvent qu’elle le pouvait malgré son emploi du temps surchargé. Lorsqu’elle avait appris que Fransiska déménageait à Los Angeles, Yelena avait quasiment sauté de joie et les deux filles s’étaient promis de se voir plus souvent. Seulement, depuis quelques semaines que Fransiska était ici, elles n’en avaient pas encore eut l’occasion, jusqu’à aujourd’hui.

Avec impatience, Yelena gara sa voiture dans un parking de downtown et s’en extirpa. Elle jeta un coup d’œil à sa montre et constata qu’elle avait cinq minutes de retard. Pour la majorité des gens, cela ne signifiait rien, mais ce détail la mit hors d’elle. Elle avait beau savoir que la ponctualité n’était pas aussi respectée aux Etats-Unis qu’en Norvège, la jeune femme se sentait toujours passablement mal lorsqu’elle faisait attendre ses rendez-vous, surtout s’il s’agissait de quelqu’un pour qui elle éprouvait de l’affection. Tout en se dirigeant vers le Starbucks café, Yelena jeta un coup d’œil à son maquillage dans son miroir de poche. Elle avait bouclé ses cheveux roux autour de son visage et relevé son regard d’un trait d’eye-liner façon pin-up des années cinquante, son look signature dans le milieu de la mode. Contrairement aux autres mannequins de son âge, Yelena n’était pas de celles qui se forçaient à rentrer dans un moule pour plaire aux créateurs. Elle se plaisait à penser que c’était aussi cette touche de différence et de folie qui faisait qu’on la bookait plutôt qu’une autre plus grande ou plus mince. Elle avait son propre style vestimentaire et n’affectionnait pas particulièrement le fait de se promener en fringues de designer toute la journée. Aujourd’hui par exemple, elle s’était vêtue d’un pantalon de jean noir moulant qu’elle avait rentré dans ses docs Martens rouges. En top, elle portait un tee-shirt Amon Amarth trop grand auquel elle avait coupé le col de façon à ce qu’il tombe délicatement sur ses épaules et découvre son décolleté. Par-dessus, elle avait passé son perfecto de cuir dont elle ne se séparait jamais.

Après quelques minutes d’une marche précipitée sous le soleil brûlant de Los Angeles, l’Européenne poussa enfin les portes du café. Le froid de l’air climatisé la fit délicieusement frissonner, elle n’avait jamais été une grande fan de la chaleur Californienne. La rouquine retira ses lunettes de soleil le temps que ses yeux se fassent à la pénombre et commença à faire la queue pour récupérer sa boisson tout en cherchant du regard sa cousine. Enfin, elle la vit, attablée un peu plus loin, une tasse à la main. Un large sourire sur les lèvres, Yelena s’empressa de payer et trottina vers Fransiska. Son café à la main, elle se pencha vers sa cousine et la serra un instant contre elle avant de coller un baiser sur sa joue, à l’anglaise. Puis elle s’installa en face d’elle et l’observa un instant.

« Fransiska, à chaque fois que je te vois, tu deviens plus belle. »

Remarqua-t-elle sincèrement. Les origines Russes de sa cousine se mariaient à la perfection à ses racines Anglaises et lui donnaient un visage des plus ravissants. Avec l’âge, elle perdait ses rondeurs enfantines et devenait une superbe jeune femme.

« Alors raconte-moi, comment se passe ta nouvelle vie à Los Angeles ? Je veux absolument tout savoir. »

Lui ordonna-t-elle avec un sourire tendre, tendant sa main par-dessus la table afin d’attraper celle de sa petite cousine. Comme chaque fois qu’elle la voyait, Yelena réalisait à quel point elle lui avait manqué. Elle se jura de ne pas laisser passer autant de temps avant de la revoir la prochaine fois.

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Fransiska A. Luesby

Fransiska A. Luesby

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MessageSujet: Re: She's got a smile that reminds me of childhood memories   She's got a smile that reminds me of childhood memories EmptyDim 17 Juil - 20:48

Je ne m’en sors pas trop ici, j’ai l’impression qu’ils sont trop stresser les gens, plus qu’à Londres même si le fait qu’ils te bousculent et ne disent pas pardon ne change pas de cette ville, c’est quand même un autre mode de vie. Ici j’ai l’impression d’être tout le temps stressée, d’avoir l’esprit embrouillé et que dans ma tête c’est le bazar et je ne sais pas comment faire pour calmer tout ça. Parfois j’en parle à Malachy mon colocataire qui passe son temps à s’amuser et trouve qu’il ne voit pas trop de différence …alors soit c’est moi qui a un problème, soit c’est lui qui est complètement frappé…mais j’opterais pour la deuxième solution, car je suis sûrement folle au point de m’arrêter dans la rue et de danser dès que j’ai appris une bonne nouvelle, mais pas au point où je trouve que cette ville vie autant le jour que la nuit, elle n’est jamais au repos ? Elle ne trouve jamais le sommeil ? Rien que la nuit ne serait-ce qu’une heure ou deux ? Il y a beaucoup de touristes, et dans le quartier où j’habite les jeunes en général vivent la nuit et pas le jour, ils ne sortent qu’en fin d’après-midi et la nuit c’est souvent le bazar, surtout s’ils se trouvent sous nos fenêtres et Mal’ est le plus heureux dans ces cas là, le matin il ne peut pas faire un seul commentaire mais qu’il soit content, un jour on travaillera tout les deux et on pourra se permettre de déménager pour habiter un coin plus tranquille, sauf que là ce n’est pas trop le cas et je ne préfère pas patauger dans la choucroute dès mon arrivée ici. Los Angeles est une ville toute nouvelle pour moi, je ne m’y sens pas encore à ma place mais je suis sûr qu’avec le temps ça va venir, mais Londres me manque quand même, mes marques, mes repères, ma vie …mon enfance, j’ai l’impression d’avoir tout laissé là-bas mais maintenant, j’ai ma nouvelle vie et elle se commence ici.

Je me suis réveillée tôt aujourd’hui, je profite que j’ai ma journée de libre pour aller voir ma cousine, elle me manque beaucoup ça fait un bout de temps que nous nous sommes plus vue, en plus de ça j’ai besoin de me confier à quelqu’un, à une fille car je ne pense pas que Mal’ pourrait comprendre ce que je ressens, c’est un homme c’est différent. J’ai tellement de choses à lui dire depuis le temps, et je suis sûre qu’elle aussi. Je suis toujours contente de la revoir, c’est comme une grande sœur que je n’ai jamais eue, c’est bien beau d’avoir un frère, mais il ne partage pas les mêmes choses et ne comprend pas souvent pourquoi les filles veulent ça, font ça et surtout pourquoi elles sont comme ça donc une présence féminine n’est pas de refus et je sais que je peux toujours compter sur elle comme elle peut aussi compter sur moi. Je regarde l’heure ayant encore le temps devant moi, j’enfile un jean foncé avec un top blanc attachant mes cheveux sans trop les coiffés puis j’enfile des talons avant de passer rapidement dans la salle de bain me passant un coup de crayon et un peu de fond de teint ni trop orangé car je n’aime pas ressembler à une citrouille, avoir un teint de porcelaine c’est très beau et ça fait ressortir mes yeux. Je quitte la salle de bain ensuite avant de prendre mon sac et d’appeler Malachy avant d’aller vers lui, ce dernier affalé sur le canapé.

« Ne m’attends pas hein, je vais voir ma cousine si jamais tu as un problème tu m’appelles d’accord ? »

Je me penche et je lui embrasse tendrement le coin de ses lèvres avant de me redresser et de me diriger vers la porte. Je quitte l’appartement me dirigeant vers le Starbuck’s lieu où j’avais donné rendez-vous à ma cousine. Malachy et moi c’est assez ambigüe, nous jouons à un jeu sûrement dangereux au point de s’y brûler mais ça met un peu de piment dans notre vie en colocation, surtout que l’on a tout les deux un sale caractère …mais je pense elle la pire dans ces cas là. Je sors de mon sac un paquet de cigarette, le rapportant lentement à mes lèvres avant de tirer lentement sur cette dernière, j’arrive ensuite devant le salon de thé, mais j’arrive trop en avance, je pensais y arriver pile à l’heure mais il faut croire que j’ai tendance à marcher trop vite. Je fini rapidement ma cigarette avant d’entrer et de chercher ma boisson, faisant la queue. Je cherche vite des yeux par la suite une table que je trouve bien vite. En retrait c’est parfait, je n’aime pas que des oreilles écoutent mes conversations, c’est frustrant et énervant à la fois. Je sors de mes pensées voyant Yelena venir à moi, je ne peux m’empêché de lui adresser un grand sourire, radieux comme à chaque fois. Je glisse un bras contre son épaule la serrant contre moi et je lui rendis son bisou avant de me rassoir correctement, la laissant prendre place à mes côtés. Je lui adresse un petit sourire rougissant légèrement à son compliment.

« Merci ma puce, mais c’est toi qui devient de plus en plus belle …je te trouve vraiment magnifique, tu le sais ça ? J’ai toujours voulu te ressembler … »

Petite elle était mon modèle, encore aujourd’hui j’aime beaucoup comment elle s’habille, ses formes c’est vraiment une superbe fille et je lui ai toujours dit. Je lui attrape doucement sa main la lui caressant tendrement de mon pouce avant de rire un peu.

« Cette vie à Los Angeles change vraiment de celle que j’avais à Londres …les gens sont beaucoup plus vifs, beaucoup trop stressant …j’ai un peu du mal à m’habituer, comme je n’ai plus mes marques ni mes repères que j’avais à Londres …et Londres me manque beaucoup tu sais. Puis j’ai un colocataire, Malachy il est …très beau, en plus de ça, c’est très ambigüe entre nous »

Je souris en coin en arrivant à la fin de ma phrase avant de rire un peu et de relever le regard vers elle, la détaillant du regard n’en loupant pas une miette puis je rougis remarquant que mon regard la gênerait peut-être. Je le baisse ensuite avant de boire une gorgée de mon cappucino puis je le repose sur la table. Maintenant que nous sommes proche l’une de l’autre, dans la même ville, malgré nos occupations, j’espère que l’on pourra se voir souvent et même faire une virée shopping, se re-confier comme avant, comme au bon vieux temps …
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Yelena A. Nygård
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Yelena A. Nygård

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MessageSujet: Re: She's got a smile that reminds me of childhood memories   She's got a smile that reminds me of childhood memories EmptyMer 20 Juil - 21:06

Un sourire attendri se dessina sur les lèvres de Yelena lorsqu’elle vit le rouge monter aux joues diaphanes de sa cousine. Sa douce Fransiska répondit avec délicatesse, en la complimentant à son tour, et ce fut aux pommettes de la Norvégienne de se décorer d’une couleur rosée. Elles étaient montées sur le même modèle, avec leur teint clair et leurs cheveux flamboyants, un trait de famille du côté russe qu’il était difficile d’ignorer. Malgré ça, leurs visages étaient différents, car leurs métissages étaient loin d’être similaire. Fransiska avait hérité du visage fin et découpé des Britanniques, tandis que Yelena arborait fièrement le sang viking qui coulait dans ses veines.

« Tu es adorable, mais tu n’as rien à m’envier, vraiment. »

Répondit la jeune femme avec un sourire. Yelena avait choisi la profession de mannequina et elle se savait jolie selon les normes taille/poids/trait du visage de la société actuelle mais elle se sentait toujours flattée lorsque quelqu’un la complimentait sur son apparence physique. C’était après tout son outil de travail et son gagne-pain. Elle savait que pensait de cette façon de penser faisait d’elle une personne légèrement superficielle mais il ne fallait pas se fier à la première impression, la Norvégienne était en réalité plus profonde qu’elle ne le laissait paraître. Elle prit une gorgée de sa boisson et remit délicatement une mèche de ses cheveux ondulés derrière ses oreille avant de relever les yeux vers Fransiska.

« En plus, j’ai toujours voulu avoir ton accent. »

Ajouta-t-elle en continuité de la phrase qu’elle avait commencée plus tôt. Un petit rire cristallin vin ponctuer ses dires lorsqu’elle réalisa que leur débat ne volait pas très haut. C’était pourtant la vérité : Yelena aurait tué quelqu’un pour avoir les intonations Britanniques si classes et distinguées de sa cousine. Elevée en Norvège jusqu’à l’âge de sept ans puis en Russie, la rouquine n’avait jamais réussi à se débarrasser de son accent Norvégien et de ses intonations Russes lorsqu’elle parlait Anglais ou Français. Où qu’elle aille, il y avait toujours quelqu’un pour lui demander si elle venait de l’Europe de l’Est, question qui lui faisait voir rouge. Ne voyaient-ils pas qu’elle essayait désespérément de prononcer ses phrases à l’Anglaise ? Elle trouvait cela si sexy qu’elle se désespérait de son incapacité à l’imiter, et le fait que sa cousine ait un accent si parfait n'arrangeait rien. Fransiska rit un instant avec elle, puis elle entreprit de lui raconter comment se déroulait sa vie à Los Angeles. Sa main toujours dans la sienne, Yelena la caressait légèrement du bout de ses doigts tout en écoutant avec attention les impressions de sa petite cousine, son regard océan fixé sur le visage de cette dernière, ses sourcils légèrement froncés alors qu’elle se concentrait sur ce qu’elle disait. Évidemment, la petite était un peu chamboulée : les deux villes n’avaient pas du tout le même rythme de vie. Et elle était si jeune ! Fransiska avait beau avoir seulement deux ans de moins que Yelena, cette dernière la considérait toujours comme une petite chose qu’elle devait protéger. C’était idiot pourtant, elle avait conscience en regardant sa cousine qu’il s’agissait d’une jeune femme et plus d’une enfant. Peut-être était-ce parce que Fransiska avait perdu ses parents bien trop tôt que Yelena agissait ainsi avec elle. Elle écouta Fransiska lui parler de ses doutes et un sourire intéressé prit place sur ses lèvres lorsqu’elle lui parla de son colocataire, un dénommé Malachy, avec qui elle entretenait une relation ambigüe.

« Malachy ? C’est original ça comme nom. S’il est aussi beau que tu le dis, il va me falloir une photo ! Tu en as sur ton téléphone ? »

Répondit-elle avec un clin d’œil complice. La Norvégienne avait beau être lesbienne, elle concevait tout à fait qu’une femme autre qu’elle puisse ressentir de l’attirance pour un homme. Parler de relation avec Fransiska ne la mettait absolument pas mal à l’aise, et elle était maintenant curieuse de savoir ce que sa cousine allait lui confier. Mais avant cela, elle voulut la rassurer sur ses impressions à propos de Los Angeles.

« Il va falloir que tu m’en dises plus sur cette relation ‘ambigüe’, mais avant cela saches que tu peux faire appel à moi à n’importe quel moment si tu te sens un peu perdue à Los Angeles. C’est normal d’avoir du mal à s’acclimater au départ, cette ville est immense, et les Américains sont tellement différents des Européens dans leur façon de penser que c’est vraiment déroutant par moments. Mais rassures-toi, on s’y fait très rapidement. Je n’y suis que depuis quelques mois et je commence déjà à avoir un peu trop de repères. Alors bien sûr, l’Europe me manque par moments, mais si j’ai réussi à m’y habituer, je ne doute pas du fait que ce sera la même chose pour toi. »

En effet, la culture Anglaise était assez éloignée de la culture Américaine mais ce n’était rien comparé à l’héritage nordique que possédait Yelena. Le fait d’être réservée, de parler peu et de ne pas vanter sa fortune ou ses mérites, tout ce qui était la norme chez elle, était considéré comme des marques de faiblesse à Los Angeles. A l’inverse, parler fort et s’épancher sur ses sentiments en présence de quasi inconnus étaient reconnu comme étant une force, hors cela mettait la Norvégienne particulièrement mal à l’aise. Le choc des cultures était grand, mais elle commençait à s’y faire et à savoir comment se comporter avec les populations de la ville. C’était effrayant, mais d’un autre côté c’était aussi terriblement grisant.

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